[vc_row type=”grid” el_class=”fst-sec-secdstory” el_id=”storyshadow1″][vc_column width=”1/4″][vc_single_image image=”4368″ img_size=”full” alignment=”right” el_class=”sec-story-img”][/vc_column][vc_column width=”3/4″][vc_column_text]
L’Afrique au bout des oreilles : Mohéna Diwouta
Rootencial a rencontré la très souriante Mohéna DIWOUTA, créatrice de bijoux d’inspiration africaine qu’elle commercialise sous la marque OHEA, l’entreprise qu’elle a créée en juin 2011 alors même qu’elle était salariée à temps plein en tant qu’attachée de presse dans une agence parisienne.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type=”grid”][vc_column width=”1/2″ el_class=”border-colom sec-sec-secdstroy”][vc_single_image image=”4370″ img_size=”full”][vc_column_text]Bien qu’elle soit née et qu’elle ait passé son enfance au Cameroun, Mohéna a des origines qui dépasse les frontières de ce pays. Elle est non seulement camerounaise, mais aussi gabonaise et française. C’est ce qui explique selon elle sa passion pour les couleurs de l’Afrique qu’elle retranscrit si bien dans ses bijoux.
Mohéna nous explique qu’elle trouve son inspiration dans tout ce qui est ethnique, dans ses voyages, dans les plaisirs simples ou encore dans les choses du quotidien les plus banales voire les plus improbables. Un simple poteau vu dans la rue peut embraser son esprit créatif ![/vc_column_text][vc_column_text]
On peut être très fort tout seul, mais avoir des gens autour qui vous rassurent et qui vous suivent, ça fait la différence.
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Selon elle, beaucoup ne se lancent pas par peur d’échouer, alors même que cela pourrait changer leur vie. Il est évidemment possible d’étaler les risques, d’entreprendre par étapes, mais elle estime que dans ce cas il ne faut jamais baisser les bras et surtout ne jamais perdre sa folie malgré les obstacles inhérents à la création entrepreneuriale.
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Pendant près de 5 ans, Mohéna a jonglé entre son emploi d’attachée de presse et ses activités de créatrice de bijoux en autoentrepreneure. D’événements en boutiques éphémères, elle présente ses créations qui suscitent l’intérêt de clients toujours plus nombreux, et elle se démarque de concurrents toujours plus nombreux eux aussi de par son métissage qui a toujours été bien accueilli.
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Avoir un double emploi, ça c’était mon premier défi. C’était de pouvoir canaliser ma passion, ne pas m’éparpiller et pouvoir gérer en même temps mon boulot, gérer la fatigue et me dire « je le fais » même dans les moments difficiles.
[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/2″][vc_images_carousel images=”4373″ img_size=”600×300″ autoplay=”yes” hide_pagination_control=”yes” wrap=”yes” el_class=”carosell-set”][vc_column_text]
Bien que la communauté africaine ait été sa première cible, ses bijoux plaisent à un public toujours plus large, ce qui alimente ses ambitions de croissance.
Mohéna explique que « Le fait d’être moi-même métisse, c’est une richesse pour moi aujourd’hui. J’arrive à faire du mix-match dans mes créations. La touche afro c’est mon plus ! » Elle aimerait aujourd’hui lever les fonds nécessaires afin de transformer son autoentreprise en société commerciale en tant que telle. Et ce n’est pas l’inspiration qui lui manque !
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Lorsque vous voyez qu’il n’y a pas d’opportunités, vous devez vous dire : je vais ouvrir la brèche, je l’ouvrirai, je le ferai !
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Pour Mohéna, elle nous explique, “la réussite qu’importe l’échelle, c’est la satisfaction de ce qu’on a accompli. Ça peut très bien être le petit gâteau qu’on va faire pour l’anniversaire de sa sœur. La réussite c’est un accomplissement, quel qu’il soit… Ne pas lâcher prise. Jamais. Même dans les périodes de doute. Ne pas avoir peur de donner, d’être généreux.
Ne pas être faux, mais ne pas oublier d’avoir les crocs, d’avoir la niaque tout le temps ! Il faut avoir du culot !“
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C’est sur une note on ne peut plus positive à destination de tous les rêveurs et à tous les entrepreneurs en devenir que Mohéna conclut notre entretien et cite Oscar Wilde : « il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles ».
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